Joy Crookes est tombée amoureuse de Lyon aux Nuits de Fourvière
“It’s the rocks for me”
Joy Crookes au Théâtre Antique
Joy Crookes découvre la ville de Lyon et est subjuguée par la beauté de la ville et surtout par le patrimoine de Fourvière. Dans l’émotion, et l’humour, elle précise entre deux chansons ne pas être sûre que Londres compte une scène aussi belle que ce Théâtre Antique, “or maybe the shit version”.
Aussi simple en vrai qu’elle apparaît sur les réseaux sociaux, elle ne boude pas son plaisir de regarder Kimberose en live, dans la fosse, comme une touriste parmi tant d’autres.
22h35 sonne, et la touriste comique se change en une diva charismatique sur la scène.
Tout Lyon s’est vidé pour venir à sa rencontre.
Ses performances acoustiques à la guitare sont les plus attendues lors de ses concerts – Don’t Let Me Down -, or son live band l’accompagne avec une telle finesse, à 4 ils laissent résonner leur son est tant homogène qu’ils paraissent jouer comme une seule personne.

La complicité avec ses musiciens sur scène est palpable : une équipe soudée et purement organique. Ils on fait du Beau, dans le plus bel endroit de la ville, voire d’Europe, si on en croit l’extase de Joy Crookes face aux “rocks” de Fourvière !
1h10 de show qui paraissent 10 minutes, tant la performance est impeccable, homogène, et la musique intemporelle : le temps s’est arrêté à Fourvière.
Replongez-vous dans l’album, et les récits que chante Joy, une auteure remarquable, qui puise son inspiration d’autres auteurs contemporains tout aussi incroyables, si ce n’est plus, à l’instar de Kendrick Lamar.